Odysee : https://odysee.com/@r%C3%A9sistants:6/le-voile-du-controle-mental:a
Résistants,
Soyons en convaincus, il est contre-productif d’essayer de vouloir convaincre.
La vérité est un cheminement personnel. La seule chose que les plus avancés peuvent faire, c’est de partager leur expérience pour humblement tenter de faire gagner du temps au moins avancés d’entre nous, dans le respect et la bienveillance. Car insister, mépriser ou insulter ne mène finalement qu’à l’effet inverse.
Ce que nous pouvons faire: agir ensemble tels des phares, pour guider aussi loin que notre lumière diffuse. Et non pas simplement briller et éblouir comme un vulgaire gourou.
Nous pouvons faire gagner un peu de temps certes, mais soyons conscients que l’expérience ne s’accumule pas en moins de temps qu’il n’en faut pour l’acquérir.
Revenons sur le voile du contrôle mental.
Pourquoi est-ce donc si compliqué de faire accepter certaines évidences ?
Soyons d’abord honnêtes avec nous-mêmes.
Depuis notre enfance, nous avons été hypnotisés, lobotomisés, conditionnés, manipulés et nous pouvons même dire, « contrôle-mentalisés ».
En premier lieu, nos parents, premières victimes nous faisant reproduire les schémas conventionnels établis auparavant par les institutions étatiques telles que les médias, l’industrie du divertissement et la politique. Tout ceci au travers de la télévision, de la radio, des journaux, de la publicité, des films et séries, etc.
Nous faisons confiance à nos parents qui eux-mêmes ont malheureusement été programmés par l’État. Cette confiance s’étendra naturellement aux diverses autorités dites compétentes qui prendront le relai pour entretenir ce conditionnement. Nous ciblons la sacro-sainte science, celle qui permet de justifier tout ce qui les arrange.
Les technocrates autoproclamés, sachants devant l’Éternel.
Ainsi que les pontes de la justice du fameux, et fumeux, cadre légal.
Toutes ces techniques de manipulation découlent des recherches sur le contrôle mental, autrement appelé : Projet Monarch ou MK ultra, initiées par la CIA, encore et toujours les mêmes aux manettes…
Rappelons que l’hypnose collective est le fruit d’une stratégie d’influence très puissante.
Qu’on se le dise, nous sommes tous victimes de ces manipulations. Certains ne s’en rendront jamais compte, d’autres réfuteront cette possibilité d’être ou d’avoir été manipulés, alors qu’une poignée tentera de désinstaller ce logiciel que l’oligarchie s’emploie à nous installer dès notre plus jeune age.
Peut-on alors se proclamer, comme on l’entend souvent à tort, éveillé ou réveillés ?
La réponse n’est pas si évidente car nous sommes TOUS ce que l’on appelle dans le milieu, des candidats Manchous.
Un « Candidat Mandchou » est un individu qui a subi un « lavage de cerveau » et qui a été programmé sous hypnose. Le terme vient de l’intitulé du roman de Richard Condon en 1958, adapté deux fois sur grand écran. De la même manière que c’est montré dans le roman et dans les films, de tels individus font théoriquement de parfaits espions, car ils ne sont pas conscients de leur mission, de l’identité de leurs supérieurs, ou des actes qu’ils commettent sous l’influence de l’une de leurs « autres » personnalités.
Car un des grands principes du MK ultra, est celui de créer des alter egos, soit des entités multiples dans un seul et même corps.
Se référer au film Split qui exprime parfaitement le trouble dissociatif de l’identité.
Ce qui paraît être de la science fiction est bel est bien de la programmation mentale. Le cerveau pouvant être « hacké » comme n’importe quel système. Notre ADN étant du code.
Encore plus vicieux: l’égo lui-même se programme.
Adapté à notre humble niveau d’esclaves plus ou moins consentants de la République Française Présidence, le terme Mandchou signifie un individu ayant subi un conditionnement lui permettant d’incarner ce que le système attend de lui. En sommes, un consommateur mondialiste, déspiritualisé, malgré lui parfait gardien du système et de la théorie officielle, n’ayant aucune conscience de ce que nous résumons par le terme Diveraineté.
Comme le dit si bien Pierre Hillard:
Ils ont réduit l’Homme à un simple estomac prolongé d’un sexe.
Pierre Hillard
Bien souvent, les mandchous agissent malgré eux contre les opposants au système car ils ont précisément été programmés pour entretenir ce dernier.
Pouvons-nous donc en vouloir à ceux qui soutiennent que la piquouse peut sauver l’humanité ? A ceux qui persistent désespérément en politique ? A ceux qui pensent que l’État leur veut du bien…?
La question n’est pas si vite répondue.
Notons qu’il n’y a pas plus mandchou que celui qui pense ne pas l’être.
Voici un exemple de manifestation et d’encrage de ce contrôle mental:
Nous mettons notre cœur à expliquer et guider vers la Stratégie d’émancipation collective avec comme levier majeur, la réappropriation du surnom légitime, soit agir en fonction de ce qu’implique dans nos vie cette fameuse Fraude du nom légal.
La plupart du temps, l’auditoire se trouve subjugué lorsque nous présentons la Fraude du nom légal, la création de la monnaie dette, l’approche stratégique pour y remédier ainsi que ses tenants et ses aboutissants. Ce qui a tout de même pour effet de remettre en question les fondements d’une société basée sur le tromperie et la dépossession ! Autant dire qu’il s’agit là de la plus grosse arnaque de l’histoire: Une gigantesque fraude qui légalise et légitime toutes les autres !
La métaphore est la suivante:
Nous présentons tout ceci à Marty, un individu lambda ayant une conscience relative de la situation globale.
Marty à un voile noir et opaque devant les yeux, tel un rideau de plomb l’empêchant de voir la réalité.
Le voile du contrôle mental.
La raison d’être de L’essor des \Résistants, en premier lieu, est de lui lever ce voile pour lui faire voir cette autre réalité, qui bien souvent après quelques explications, fini par raisonner en lui comme une évidence.
Marty sait à présent qu’il a été trompé et qu’il est possible d’y remédier.
Nous pourrions nous en réjouir. Mais….
Quelques minutes après l’exposé, le voile que nous retenions fini par retomber devant ses yeux et, Marty reprend son quotidien en ayant comme oublié ce petit moment de lucidité qu’il venait d’avoir.
Nous y sommes, le voile du contrôle mental vient parfaitement de jouer son rôle.
– « Allô McFly, il y a quelqu’un au bout du fil ? »
Bon, il semblerait que l’on ait perdu Marty…
L’égo préalablement programmé se retrouve bousculé.
La dissonance cognitive, elle aussi bien connue pour nous faire buguer.
Nous en arrivons simplement au fait de ne pas saisir la dimension ni l’importance de ce qui a été exposé et finalement, de laisser échapper ce que de toute évidence, L’État oppresseur et esclavagiste ne souhaite absolument pas que nous prenions conscience.
Là où l’affaire se complique pour notre prise de conscience, c’est que tant qu’un individu a besoin que quelqu’un lui écarte son rideau de plomb devant son visage, nous pouvons considérer qu’il n’est pas l’heure pour lui.
Convaincre, c’est tenter d’écarté ce voile sur lequel nous n’avons finalement aucune prise. Seule la conviction personnelle lèvera ce fameux voile du contrôle mental.
Après tout, comme disait J. Edgar Hoover:
L’individu est handicapé en se retrouvant face à une conspiration si monstrueuse, qu’il ne peut croire qu’elle existe.
J. Edgar Hoover
« Handicapé », le mot n’est pas anodin.
Ce contrôle de l’esprit nous a conditionné et donc placé dans l’acceptation de notre misérable condition de simples sujets de ce système esclavagiste.
Dans l’incapacité de voir et de comprendre les évidences.
Dans la croyance paradoxale de l’espèce humaine soit disant au sommet de son évolution mais proportionnellement tout aussi déspiritualisée.
D’entrée de jeu, le système nous a écarté de notre raison d’être, de notre pouvoir créateur, de notre confiance en nous et globalement, de la conscience de soi.
Les maîtres du jeu nous ont programmé pour que l’on soit bien adaptés au bonheur qu’ils nous ont fabriqué.
Quatre murs de béton, baignade dans la 5G, le bruit, la pollution, se délectant de malbouffe et faisant fit de notre tristesse et de ces non sens par la prise de diverses drogues.
Ils ont même réussi à nous faire croire qu’il était quasiment normal de tomber malade, que c’était dans l’ordre des choses. L’humain vieilli et fini par défaillir.
Il suffit de voir le peu d’estime que nous nous portons à nous suffire de rien, à accepter les miettes d’une oligarchie qui s’est accaparé tout le gâteau, à errer sur cette terre sans questionnement majeur, en remettent notre confiance à des bourreaux, en passant notre temps à des futilités, en tombant dans le divertissement à outrance, à attendre qu’autrui fasse la démarche à sa place, a attendre le sauveur, la providence ou que sais-je encore… Bref, du pain, des jeux et… la messe est dite.
L’homme est en permanence conditionné par autrui. Tant qu’il se croit heureux, il ne remet pas en cause ce conditionnement.
Bernard Werber
Il serait dommage de ne pas citer Günther Anders qui écrivit cette réflexion « prémonitoire » en 1956:
Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut surtout pas s’y prendre de manière violente.
Günther Anders
Les méthodes archaïques comme celles d’Hitler sont nettement dépassées.
Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées…
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique le niveau & la qualité de l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle.
Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations matérielles, médiocres, moins il peut se révolter.
Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste..… que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie.
Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements abrutissant, flattant toujours l’émotionnel, l’instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon avec un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de s’interroger, penser, réfléchir.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.
Comme anesthésiant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions matérielles nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un produit, un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau.
Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité, son esprit critique est bon socialement, ce qui risquerait de l’éveiller doit être combattu, ridiculisé, étouffé…
Toute doctrine remettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.
Prémonition ou connaissance des mécaniques d’asservissement…?
Quoi qu’il en soit, il y a là matière à taper du point sur la table !
Et s’il en était autrement ?
Et si nous décidions tous ensemble de renverser le plateau d’un jeu où nous sommes systématiquement perdant ?
Et si nous reprenions confiance en nous pour faire ressurgir ce pouvoir créateur ?
Ce pouvoir de sortir de la torpeur pour enfin devenir acteurs !
Nous avons tous, sans exception, la possibilité de tout faire changer.
Ce qu’il faut ?
Sortir du tourbillon de l’espoir pour entrer dans la dynamique du vouloir.
Vouloir faire changer notre destiné, c’est déjà 50% du chemin réalisé.